Je pense que la commémoration du Première Guerre Mondiale en Nouvelle Zélande est très importante parce que nous avons besoin d’honorer les hommes et les femmes néo-zélandais qui sont allés à la guerre.
Ça fait cent ans maintenant que la grande guerre a eu lieu, et la jeunesse d’aujourd’hui ont besoin de reconnaitre le prix que les personnes ont payé.
En Nouvelle Zélande, il y a beaucoup de monuments du Première Guerre Mondiale et il y a un jour de commémoration qui s’appelle Jour ANZAC. En ce jour, la population néo-zélandais se réveillent très très tôt pour aller aux défilés et célébrations ANZAC.
La plupart des jeunes auraient assisté à ces défilés et célébrations avec ses parents ou ses grands-parents au moins une fois dans leur vie.
Moi, j’y suis allé en 2008 avec mon grand-père et c’était très intéressant parce que je ne connaissais pas grande chose à propos de la Grande Guerre, mais maintenant après avoir visité un peu la région d’Arras dans le nord de la France, et aussi les plages de Débarquement en Normandie, je en sais plus et je commence à comprendre la situation des néo-zélandaise à cette époque.
Alors, pour cette raison je crois que c’est pertinent pour tous les jeunes d’aujourd’hui d’apprendre notre histoire en tant que participants militaire aux guerres en Europe.
J’ai des aïeuls qui a participé dans la guerre en France à partir de 1917-1918.
Avec l’aide de ma mère, sa sœur et mon professeur de français, je fais des recherches sur les frères Rosson ; Charles, George, et William qui habitaient Wellington dans les années 1910.
Leurs noms sont inscrits aux « New Zealand Roll of Honnor » et dans les fiches d’inscription des jeunes néo-zélandais en 1916.
Je suis intéressé d’apprendre plus à propos d’eux et les choses ils ont du besoin de faire pendant la guerre. En particulier, Private Charles Henry Rosson #23880 qui a été blessé deux fois en Europe.
La raison pourquoi je suis intéressé à être un ambassadeur pour le programme ‘Young Ambassadors’ de Shared Histories 2018 est parce que j’aimerais savoir plus à propos de mon aïeul et les ancêtres d’autres personnes d’autres nationalités.
En octobre j’ai rencontré une française au Lycee Carnot à Dijon, en France (Philippine D) qui est descendant d’un militaire célèbre français Colonel Henri Giraud.
Elle viendra à Christchurch en avril 2018 (en voyage scolaire) et j’ai l’intention d’acquérir plus information à propos de son aïeul pour en faire une présentation à mes camarades de classe.
De plus, je voudrais visiter plus de monuments de la première guerre mondiale, surtout, les monuments français et les cimetières militaires pour mieux comprendre ce qui s’est passé. Pendant mon récent voyage en France j’ai appris des choses à propos de la Nouvelle Zélande et son engagement aux batailles en France ; par exemple, le bataille d’Arras, où les néo-zélandais ont aidé les française à creuser les tunnels souterrains avant de participer dans le champ de bataille tout près de cette ville.
Je m’intéressé dans l’histoire néo-zélandaise et ce voyage en France m’a fait vouloir apprendre beaucoup plus pour moi-même, mes descendants futurs et pour ma famille actuelle. Je viens d’une famille de guerriers maoris et j’en suis fier de mon héritage.
Le haka de mon lycée m’encourage d’apprendre tous ce que je peux à propos de mon whakapapa et de m’en servir pendant ma vie – et c’est ça que je cherche à faire:
Runga, Raro, Roto, Waho!
On ramasse la force du ciel (nos ancêtres), d’en bas (notre histoire), dans nous-mêmes, et de partout (nos amis, notre école, la terre…)
Karawhiua ki runga e
On donnera notre âme pour réussir.
I a ha ha!
Oui, on le fera!