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Friday, 02 May 2014 00:00

Comment pouvons-nous nous rappeller des victimes de la Premiere Guerre mondiale? / How Do We Remember the Casualties of the First World War?

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An English Translation Follows the French Version of this Article.

Comment pouvons-nous nous rappeller des victimes de la Premiere Guerre mondiale? Une reflexion ANZAC DAY.

Chaque année, le 25 Avril ont une fête nationale, appelée ANZAC DAY, en souvenir de ceux qui sont morts à la guerre. Cette année, le 25 Avril était le 99 ans que les soldats Néo-Zélandais sont atterris sous le feu sur la plage de Gallipoli dans l’Empire Ottoman (Turque).

Histoire militaire dominé les journaux des articles publiés sur les héros de Nouvelle-Zéalande. La premiére page du journal Otago Daily Times, le 25 Avril 2014 profile James Waddell, un Néo-Zélandais qui a combattu avec la Légion étrangère française, plutôt qu’une unite en Nouvelle-Zéalande.

Enterré dans le journal Otago Daily Times â la page 17, un article de Ian Harris intitule “Les Casualtiés de Guerre Sont Multiples“ “Il a suggéré qu’une comprehension plus véridique de, de ce que la Grande Guerre destine a ceux qui l’ont vécu et â ceux qui regardent en arrière et ont adopter une approche plus inclusive, plutôt que de concentrer exclusivement sur l’histoire militaire. Les victimes de la guerre ne sont pas seulement ceux qui sont morts dans la bataille.

Dans l’article de Ian Harris, il suggère que les “objecteurs de conscience courageux, ainsi que des militaires et des femmes, doivent être respectés.“ Dans son article, il a souligné Archibald Baxter.

Baxter a catégoriquement refuser de participer â la guerre qui lui a valet d’être emprisonné, et dans un ultime effort pour briser sa volonté d’être expédités en 1917 pour le front de la France et de Belgique. Là, il a souffert d'abus, d’agression, la privation de nourriture et de médicaments, et la torture du champs repression No 1, lié par les chevilles les genoux et les poignets à un poteau et oblique pendant des heures. A une occasion, il a été ordonné de se tenir à côté d’un dépôt de munitions sous le feu de l’artillerie allemande, et a eu la chance de survirre.

Ian Harris suggère que “cent ans après le déclenchement de la Premiére Guerre Mondiale, peut-être il est temps de se rappeler aussi la peur de la côté citoyens ordinaires qui ont souffert des grandes difficultiés pour l’exercice de la liberté de conscience en s’opposant de la guerre.“

Baxter s’est opposé parcequ’il pensait simplement la maniére la plus absude connues de l’homme de régler les differends internationaux. D’autres se sont opposés en raison de leurs croyances socialistes. Les autres se sont opposés parcequ’il croyaient la guerre e’tait diamétralement opposés aux enseignements de Jésus et la foie crétienne.

Ian Harris a cite le ANZAC DAY HYMNE écrite en 2005 par la Néo-Zélandaise Shirley Murray (Musique par le professeur Colin Gibson). Alors que l’hymne rend hommage aux braves hommes qui ont servi dans les forces militaires, il a un verset qui se concentre sur les hommes courageux dont s’opposer â la guerre amenès quolibets et prison.

            “Honorez le courageux dont conscience

            était leur appel,

           répondu non clarion, est allé

           contre le mûre.

           Souffert au prison de mépris

           et de honte.

           Marqué comme des lâches

           au nom de notre pays.”

C’est un hymne à controverse, et ce verset et parfois supprimé quand il est chanté. Son auteur avait reçu le courier de haine; une femme disait qu’elle était “écoueré et “dégouté“ par l’hommage à rejeté ces hommes comme des “lâches confus.” L’auteur Shirley Murray, est cité comme disant en réponse, “Avons-nous pas de héros â retenir qui a dit “non” à la folie qui nous a propulsé dans la guerre, et la pitié de la guerre? Le fait qu’ ils ont pris une part essentielle de l’hymne en dit long sur notre histoire cachée.”

Cela nous donne quelque chose a réfléchir sur les historiens et les étudiants de l’histoire quand on regarde de porter des judgements sur l’importance historique. Ceci est pertinent pour notre étude sur la désobéissance, la rebellion de soldats et le traitement des objecteurs de conscience. Nos judgements historiques seront toujours basées sur nos valeurs actuelles. Nous pouvons reconnaître les points de vue des personnes à la fois, mais nos points de vue historiques sont ancrés dans nos vies aujourd’hui. Nous vivons dans une société qui est plus favourable à l’étranger, une société don't l’identité est plus diversifée et inclusive, démocratique et indépendant, peut-être les journalist et le pont de vue de commentataire Ian Harris d’importance historique doit être appronfondie. Notre vision de l’histoire doit être un inclusive qu’il préconise.

How Do We Remember the Casualties of the First World War? An ANZAC DAY Reflection.

Each year on 25 April New Zealanders have a national holiday, called ANZAC Day, to remember those who died in war. This year, the 25th of April was 99 years since New Zealand soldiers landed under fire on the beach at Gallipoli in the Ottoman Empire (Turkey).

Military history dominated the newspapers with articles published on New Zealand heroes. The Otago Daily Times newspaper front page on 25 April 2014 profiled James Waddell, a New Zealander who fought with the French Foreign Legion, rather than a New Zealand unit.

Buried within the Otago Daily Times newspaper on page 17 was an article by Ian Harris titled “The Casualties of War are Manifold.” He suggested that a more truthful understanding of what the Great War meant to those who experienced it and to those who look back at it is to adopt a more inclusive approach, rather than exclusively focusing on military history. The casualties of war were not just those who died in battle.

In Ian Harris’ article he suggests that the “brave conscientious objectors, as well as servicemen and women, should be honoured.” In his article he highlighted Archibald Baxter.

“His steadfast refusal to engage in war led to his being imprisoned and, in a last-ditch effort to break his will, being shipped in 1917 to the Front in [France and] Belgium. There he suffered abuse, assault, deprivation of food and medicine, and the torture of No.1 Field Punishment, bound by ankles, knees and wrists to a forward-slanting stake for hours on end. On one occasion he was ordered to stand next to an ammunition dump under fire from German artillery, and was lucky to survive.”

Ian Harris suggests that “one hundred years on from the outbreak of World War one, perhaps it is time to remember also the scared upon scores of ordinary citizens who suffered great hardship for exercising freedom of conscience by objecting to war.”

Baxter objected because he simply thought it the most absurd way known to man to settle international disputes. Others objected because of their socialist beliefs. Others objected because they believed war was diametrically opposed to the teachings of Jesus and the Christian faith.

Ian Harris quoted the ANZAC DAY HYMN written in 2005 by New Zealander Shirley Murray (music by Professor Colin Gibson). While the hymn honours the brave men who served in the military forces, it has a verse which focuses on the brave men whose stand against war brought them jeers and jail.

   “Honour the brave whose

conscience was their call,

   answered no bugle, went

against the wall,

   suffered in prisons of contempt

and shame,

   branded as cowards in our

country’s name.”

It’s a controversial hymn, and this verse is sometimes deleted when it is sung. Its author had received hate mail; one woman saying she was ‘sickened’ and ‘disgusted’ by the tribute to conscientious objectors. Another dismissed these men as ‘confused cowards’. Its author, Shirley Murray, is quoted as saying in response “Have we no heroes to remember who said ‘no’ to the insanity that propelled us into war, and the pity of war? The fact they took out a vital part of the hymn speaks volumes about our hidden history.”

This gives us something to reflect on as historians and students of history when we look at making judgements on historical significance. This is relevant to our study of on 'Disobedience, Rebellion of soldiers and the treatment of conscientious objectors'. Our historical judgements will always be based on our present day values. We can acknowledge the views of people at the time but our historical views are grounded in our lives today. We live in a society that is more sympathetic to the outsider, a society whose identity is more diverse and inclusive, democratic and independent, perhaps journalist and commentator Ian Harris’ views of historical significance needs further investigation. Our view of history needs to be an inclusive one as he advocates.

Read 5242 times Last modified on Friday, 02 May 2014 19:26

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